

J'aime les gens pour ce qu'ils sont, pas pour ce qu'ils devraient être
Les gens que je rencontre (hors du cadre professionnel) me demandent souvent si je ne suis pas fatigué, en tant qu'hypnothérapeute, de devoir travailler avec des gens « à problèmes », d'être confronté au quotidien à toute cette « négativité », à ces « troubles psychologiques ». La question, bien qu'absurde en réalité, est assez révélatrice de notre civilisation hypocrite où une personne qui a des problèmes est forcément une personne « reloue » voir « dérangée », et donc une p